À Pâques
Frère Jacques, frère Jacques, Réveille-toi de ton sommeil d’hiver Les fins taillis sont déjà verts Et nous voici au temps de Pâques, Frère Jacques. Au coin du bois morne et blêmi Où ton grand corps s’est endormi Depuis l’automne, L’aveugle et vacillant brouillard, Sur les grand-routes du hasard, S’est promené, longtemps, par les champs monotones […] Plus