Rêve

Les cheveux flottants et la gorge nue,
Au sein d’un val où j’étais seul,
Une femme est venue.

Calme, en traversant l’ombre d’un tilleul,
Elle s’embellit d’un sourire,
Quand elle me vit seul,

Et, parfumant l’air d’une odeur de myrrhe,
Elle vint s’asseoir près de moi,
Ne cessant de sourire.

Puis elle m’offrit, vibrante d’émoi,
Le baiser de sa lèvre rose,
En s’inclinant sur moi,

Les cheveux flottants, la bouche mi close.

Femmes rêvées

Voter pour ce poème!

Avatar Apprenti Poète

Par Albert Ferland

Poemes Albert Ferland - Découvrez les œuvres poétiques de Albert Ferland

Ce poème vous a-t-il touché ? Partagez votre avis, critique ou analyse !

Le silence est l'ennemi de la poésie. Libérez votre voix, comme Baudelaire dans un jardin des mots.
S’abonner
Notifier de
Avatar
guest
0 Avis
Inline Feedbacks
View all comments

Bêtise de la guerre

Mauvaise soirée