Il n’y a plus de caravane

Même oublieux, c’était
Noël à
Jaisalmer

Et dans le sérail aux touristes il y avait

Un dîner de gala, de la musique avec

Des danses, des rythmes d’enfer et des cris amers.

Le maître d’hôtel, en smoking et turban rouge.

Jouait en virtuose de son ébriété.

Il semblait là sans y être ni avoir été,

Très loin du festin d’ombres où jamais rien ne bouge.

Des rois mages titubants apportaient quelques sweets,

Les étoiles dans la nuit s’égaraient à la suite,

On servait du
Champagne «
Marquise de
Pompadour »

Alors que d’un sourire aussi vain qu’un écho
On suggérait au moins de la *
Béghum
Cliquot »…
La rosée du désert faisait le sable lourd.

Voter pour ce poème!

Ne laisse pas ce poème te quitter sans laisser ton empreinte! Laisse un commentaire et fais part de ton ressenti!

Ce poème vous a-t-il touché ? Partagez votre avis, critique ou analyse !

S’abonner
Notifier de
guest
0 Avis
Inline Feedbacks
View all comments