A madame la princesse douairière, Charlotte de la Trémouille
Quoi donc, grande princesse, en la terre adorée, Et que même le Ciel est contraint d’admirer, Vous avez résolu de nous voir demeurer En une obscurité d’éternelle durée ? La flamme de vos yeux, dont la cour éclairée A vos rares vertus ne peut rien préférer, Ne se lasse donc point de nous désespérer, Et […] Plus