Ô monts justement fiers …
Ô monts justement fiers de vos pentes arides, Ô bords où j’égarais mes pas, Ô vagues de la mer, berceau des Néréides, Que je fendais d’un jeune bras, J’ai peur de vous revoir, mais c’est une folie : Siedil qu’un coeur comme le mien Soit assouvi jamais de la mélancolie De votre charme aérien ? […] Plus