Les infidèles
Sonnet. Je t’aime, en attendant mon éternelle épouse, Celle qui doit venir à ma rencontre un jour, Dans l’immuable éden, loin de l’ingrat séjour Où les prés n’ont de fleurs qu’à peine un mois sur douze. Je verrai devant moi, sur l’immense pelouse Où se cherchent les morts pour l’hymen sans retour, Tes sœurs de […] Plus