Dodécasyllabique

Vers de douze syllabes qui, s’il respectait les conventions de la césure de la poésie classique serait un alexandrin lequel est composé de deux hémistiches de six syllabes chacun.
Un ’dodécasyllabe’ n’est pas qualifié d’alexandrin s’il ne respecte pas une césure ou une coupe après la sixième syllabe pour s’inscrire dans un rythme 6//6 ou un rythme ternaire 4//2/2//4

Laisser un commentaire

Avatar

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *