Impair

on appelle un vers impair lorsqu’il compte un nombre impair de syllabes (1,3,5,7,9,11…).
Exemple (Paul Verlaine, “Art poétique”) :

De/ la/ mu/si/que a/vant/ tou/te/ chose,
Et/ pour/ ce/la/ pré/fè/re/ l’Im/pair
Plus/ va/gue et/ plus/ so/lu/ble/ dans/ l’air,
Sans/ rie/n en/ lui/ qui/ pè/se ou/ qui/ pose.

Ici, chaque vers compte 9 syllabes; ce sont donc des vers ennéasyllabiques.

LaPoésie.org Apprenti Poète

Par LaPoésie.org

Le secret pour bien vivre et longtemps est : manger la moitié, marcher le double, rire le triple et aimer sans mesure.

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