Quand le vaillant Hector, le grand rempart de Troie

Quand le vaillant Hector, le grand rempart de Troie,
Sortit tout enflammé, sur les nefs des Grégeois,
Et qu’Achille charmait d’une plaintive voix
Son oisive douleur, sa vengeance de joie.

Comme quand le Soleil dedans l’onde flamboie
L’onde des rais tremblants repousse dans les toits :
La Grèce tout ainsi flottante cette fois
Eut peur d’être à la fin la proie de sa proie.

Un seul bouclier d’Ajax se trouvant le plus fort
Soutint cette fureur et dompta cet effort,
J’eusse perdu de même en cette horrible absence

Mon amour, assailli d’une armée d’ennuis,
Dans le travail des jours, dans la langueur des nuits,
Si je ne l’eusse armé d’un bouclier de constance.

Chaque commentaire est une goutte de pluie dans notre océan de poésie. Ajoutez votre averse, à la manière de Hugo.

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