Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
Sonnet CXIV. Ô trois et quatre fois malheureuse la terre Dont le prince ne voit que par les yeux d’autrui, N’entend que par ceux-là qui répondent pour lui, Aveugle, sourd et mut plus que n’est une pierre ! Tels sont ceux-là, Seigneur, qu’aujourd’hui l’on resserre Oisifs dedans leur chambre, ainsi qu’en un étui, Pour durer […]