Les musiciens ambulants
Sans crainte, mon Annette, ah ! revoyons le jour. En regardant ton fils que ta peine s’oublie. Comment ne pas chérir sa vie Quand elle appartient à l’amour ? Du courage qu’il donne il est la récompense. Prends ta harpe, chantons l’amour et la constance. Pour toi d’un triste hymen on préparait le jour ; […]