Comme leurs yeux troublés de sentiments contraires
Se baissaient devant lui,
Il dit : « Allez en paix ! allez en paix, mes frères,
Vous qui m’avez trahi !
Vivez, et que jamais sous vos pas ne s’entr’ouvre
Un piège inattendu,
Que la main du Seigneur vous assiste et vous couvre,
Vous qui m’avez vendu ! »
Ce poème vous a-t-il touché ? Partagez votre avis, critique ou analyse !