Ami de Ronsard, (qui nous apprend lui-même dans une élégie “…que Belleau et Ronsard n’estoient qu’un,- Et que tous deux avaient un mesme coeur commun”.) il compta, dès 1554, parmi les membres de la Pleïade et en était, selon Ronsard, le septième astre. Sa traduction , en 1556, des ” Odes” d’Anacréon porte la marque d’un talent délicat et raffiné… Lire la suite
Ami de Ronsard, (qui nous apprend lui-même dans une élégie “…que Belleau et Ronsard n’estoient qu’un,- Et que tous deux avaient un mesme coeur commun”.) il compta, dès 1554, parmi les membres de la Pleïade et en était, selon Ronsard, le septième astre.
Sa traduction , en 1556, des ” Odes” d’Anacréon porte la marque d’un talent délicat et raffiné qui convenait bien à pareille entreprise. La même année, il publie de “Petits hymnes de son invention”,où il décrit aussi bien le corail que la tortue ou le papillon.
En 1565 paraît sa “Bergerie”, un ensemble de poèmes relatant la vie de la nature, reliés par des passages en prose.
En 1576, paraissent 3 oeuvres: une traduction du “Cantique des Cantiques” et de “L’Ecclésiaste” et surtout “Les Amours et nouveaux eschanges des Pierres précieuses et propriétés d’icelles”, où, dans la traditions des lapidaires du Moyen-Age, sont évoqués, par une heureuse synthèse entre la poésie et la science du temps, les mythes attachés à chaque pierre mais aussi leurs diverses propriétés.
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