Grande banlieue

Sur le paysage lont qui s’accroît sans cesse des herbes et des fruits qui mûrissent l’été de nature bonne princesse lance l’alouette de la liberté

Dans les jardins cachés où ne se révèle pas l’histoire des ombres effacées l’eau fourmille en ses voiles de mercure et d’argent froissés

A son heure l’aube opportune fait cesser l’asthme et l’insomnie les crabes courent sur la lune qui près de l’étoile frémit

La mer n’est qu’une opale verte loin d’elle un marin endormi calme ses os endoloris et rêve de découvertes

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