Dédain
À LORD BYRON, EN 1811. Yo contra todos y todos contra yo.ROMANCE DEL VIEJO ARIAS. I. Qui peut savoir combien de jalouses pensées, De haines, par l’envie en tous lieux ramassées, De sourds ressentiments, d’inimitiés sans frein, D’orages à courber les plus sublimes têtes, Combien de passions, de fureurs, de tempêtes, Grondent autour de toi, […] Plus