À Victor Hugo
Ô grand charmeur du siècle et des peuples nouveaux, Pourquoi te reléguer dans ces pâles ténèbres, Sous l’oblique faux jour de ces étroits caveaux, Pour les morts d’autrefois classiquement funèbres ? Pourquoi donc t’exiler dans ce froid Panthéon ? Sur la montagne chauve on ne passe plus guère : Sans l’aveugle jouant d’un vieil accordéon, […] Plus