Quand, au matin, je vois tes persiennes
Quand, au matin, je vois tes persiennes s’ouvrir Doucement comme des paupières, Et toi-même accoudée au balcon en fleurir, Rose blanche, les vieilles pierres, Mon âme livre alors ses ailes au baiser De la jeune lumière heureuse, Et vole, frémissante abeille, se poser Aux plis de ta bouche amoureuse. Et je dis, bénissant la main […] Plus