À un poète mort
Sonnet. Toi dont les yeux erraient, altérés de lumière, De la couleur divine au contour immortel Et de la chair vivante à la splendeur du ciel, Dors en paix dans la nuit qui scelle ta paupière. Voir, entendre, sentir ? Vent, fumée et poussière. Aimer ? La coupe d’or ne contient que du fiel. Comme […] Plus