Paulo « minora » canamus
À un ami. C’est vrai, pour un instant je laisse Tous nos grands problèmes profonds ; Je menais des monstres en laisse, J’errais sur le char des griffons. J’en descends ; je mets pied à terre ; Plus tard, demain, je pousserai Plus loin encor dans le mystère Les strophes au vol effaré. Mais l’aigle […] Plus