Destins
Ô femme, chair tragique, exquisément amère, Femme, notre mépris sublime et notre Dieu, Ô monstre de douceur, et cavale de feu, Qui galopes plus vite encor que la Chimère. Femme, qui nous attends dans l’ombre au coin du bois, Quand, chevaliers d’avril, en nos armures neuves Nous allons vers la vie, et descendons les fleuves […] Plus