Sérénade
SaDame, à fidèle amant,Donna bon espoir d’amour.On fixa le temps, le lieu.Vint le matin du jour dit.Il s’en fut, sombre, pensifEt sans cesse soupirant :Jour, tu grandis pour ma peine,Soir,Comme tu es loin de moi ! Le désir le brûlait tantEt tant le pressait la joieQu’il espérait de saDameQu’il craignait de ne pouvoirSe survivre […] Plus