L’été
Hélas ! le malheureux qui rend nos champs fertiles Est immolé sans cesse aux habitants des villes. Le luxe honore ici les talents superflus, On dédaigne son art, son état, ses vertus. Ô mon concitoyen, mon compagnon, mon frère ! Ô toi ! par qui fleurit l’an le plus nécessaire ; Ami de l’innocence, honnête […] Plus