A Franz Liszt
Sous quels cieux nouveaux, ô mon grand artiste. Ta sonore tente a-t-elle émigré ? Moi dont l’amitié te suit à la piste, Je reviens, ce soir, solitaire et triste, Revoir un doux lieu par toi consacré. Un soir de juillet, un soir que la lune D’un reflet splendide argentait le flot, La persienne ouverte au […] Plus