Maximes…


Le fruit du travail est le plus doux des plaisirs.


Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l’on ne devait jamais mourir.


Nous querellons les malheureux pour nous dispenser de les plaindre.


Les feux de l’aurore ne sont pas si doux que les premiers regards de la gloire.


Ceux qui méprisent l’homme ne sont pas des grands hommes.


Les conseils de la vieillesse éclairent sans échauffer,


Ce n’est pas un grand avantage d’avoir l’esprit vif, si on ne l’ajuste.
La perfection d’une pendule n’est pas d’aller vite, mais d’être réglée.


On dit peu de choses solides, lorsqu’on cherche à en dire d’extraordinaires.


Les grandes pensées viennent du cœur.


Les grands hommes parlent comme la nature, simplement.


Il faut avoir de l’âme pour avoir du goût.


Les premiers jours du printemps ont moins de grâce que la vertu naissante d’un jeune homme.


On ne s’élève point aux grandes vérités sans enthousiasme ; le sang-froid discute et n’invente point.
Il faut peut-être autant de feu que de justesse pour faire un véritable philosophe.


La servitude avilit l’homme au point de s’en faire aimer.


La guerre n’est pas si onéreuse que la servitude.


La solitude est à l’esprit ce que la diète est au corps.


Nos plus sûrs protecteurs sont nos talents.

Voter pour ce poème!

Le poème est une fenêtre ouverte sur l'âme. Laissez votre lumière briller en laissant un commentaire

Ce poème vous a-t-il touché ? Partagez votre avis, critique ou analyse !

S’abonner
Notifier de
guest
0 Avis
Inline Feedbacks
View all comments