Morceau à quatre mains
Le salon s’ouvre sur le parc Où les grands arbres, d’un vert sombre, Unissent leurs rameaux en arc Sur les gazons qu’ils baignent d’ombre. Si je me retourne soudain Dans le fauteuil où j’ai pris place, Je revois encor le jardin Qui se reflète dans la glace ; Et je goûte l’amusement D’avoir, à gauche […] Plus