Qu’heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu’heureux
Qu’heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu’heureux, De ne suivre abusé cette aveugle déesse, Qui d’un tour inconstant et nous hausse et nous baisse, Mais cet aveugle enfant qui nous fait amoureux ! Tu n’éprouves, Baïf, d’un maître rigoureux Le sévère sourcil : mais la douce rudesse D’une belle, courtoise et gentille maîtresse, Qui […] Plus