Oh ! c’est toi ! je t’attends
Oh ! c’est toi ! Je t’attends, ô ma belle Romaine. Chez toi, dans cet asile où le soir nous ramène. Seul je mourais d’attendre et tu ne venais pas. Mon cœur en palpitant a reconnu tes pas. Cette molle ottomane………. Ces glaces, tant de fois belles de ta présence, Ces coussins odorants, d’aromates templis, […] Plus