Poème pour l’aube
les fougues de chair vive aux étés éployés de l’écorce cérébrale ont flagellé les contours de la terre les ramphorinques dans le sarcasme de leur queue prennent le vent le vent qui n’a plus d’épée le vent qui n’est plus qu’une gaule à cueillir les fruits de toutes les saisons du ciel mains ouvertes mains […] Plus