I. AUJOURD’HUI En larges nappes d’or la lumière s’épanche : Le soir viendra bientôt, six heures ont sonné. L’ouvrier se...
Heureux
La terre était immense, et la nue était morne ; Et j’étais comme un mort en ma tombe enfermé, Et...
En vain la nuit s’écoule, en vain le ciel se dore Des premiers doux rayons de la déesse Aurore, Sur...
Clusine, qui dans tous les temps Eut de tous les honnêtes gens L’amour ou l’estime en partage ; Qui toujours...
Je veux de ma Caroline Faire le gentil portrait, Et que chacun le devine Sans deviner qui l’a fait. L’amour...
Ô poète ! pourquoi tes stances favorites Marchent-elles toujours cueillant des marguerites, Toujours des liserons et toujours des bleuets, Et...
Le poète Le mal dont j’ai souffert s’est enfui comme un rêve. Je n’en puis comparer le lointain souvenir Qu’à...
Naples, 1822. Si tu pouvais jamais égaler, ô ma lyre, Le doux frémissement des ailes du zéphyre À travers les...
(extrait) II Oh ! Paris est la cité mère ! Paris est le lieu solennel Où le tourbillon éphémère Tourne...
