A L’Aube

Dans mon rêve la tête d’un enfant était au centre.
Si les nuages s’accumulent sur ton toit et que la pluie t’épargne garderas-tu le secret de ce double miracle?
Mais aucune voix ne t’appelle. Si tu te lèves, pieds nus, tu prendras mal. Où irais-tu d’ailleurs, à travers ces ravins de lumières.
L’édredon gardait le silence; les jambes repliées sous lui il marche sur ses ailes et sort. C’était un ange et le matin plus blanc qui se levait.

Pierre Reverdy

Chaque commentaire est une étoile dans notre ciel poétique. Brillez avec le vôtre.

Laisser un commentaire

Découvrez d'autres poèmes de Pierre Reverdy

Veuillez autoriser les annonces sur ce site!

Il semble que vous utilisez un bloqueur de publicités. La publicité constitue la seule source de financement pour du site. Vous Pouvez ajouter LaPoesie.org à votre liste blanche.

Refresh

Nouveau sur LaPoesie.org ?

Première fois sur LaPoesie.org ?


Rejoignez le plus grand groupe d’écriture de poésie en ligne, améliorez votre art, créez une base de fans et découvrez la meilleure poésie de notre génération.