Les urnes de julie
Peu à peu s’affaiblit mon écorce mortelle, Je reverrai bientôt ce qui me fut si cher ; Je dresse sur un mont un odorant bûcher, Que je vais allumant moi-même de mon aile. Je porte au flanc la mort, son trait et sa quadrelle, Et soupirant ma fin que je sens approcher, Je fais […]