Hier, j’ai surpris l’aurore à son premier éveil, Quand le nid est muet encore sur la branche. Là-haut, le sombre...
Angoisse
Au moment de jeter dans le flot noir des villes Ces choses de mon cœur, gracieuses ou viles, Que boira...
Hélas, depuis les jours des suprêmes combats, Tes compagnes sont la frayeur et l’infortune ; Tu n’as plus pour pays...
Toute initiale du monde et son secret et son oiseau dans la pointe de mon couteau La nuit la nuit...
Hélas, depuis les jours des suprêmes combats, Tes compagnes sont la frayeur et l’infortune ; Tu n’as plus pour pays...
Au retour des beaux jours, dans ce vert floréal Où meurent les Danton trahis par les Réal, Quand l’étable s’agite...
L’universelle mort ressemble au flux marin Tranquille ou furieux, n’ayant hâte ni trêve, Qui s’enfle, gronde, roule et va de...
Si les chastes amours avec respect louées Éblouissent encor ta pensée et tes yeux, N’effleure point les plis de leurs...
À Ernest Havet. LOUISE ACKERMANN ………… DERNIER MOT Un dernier mot, Pascal ! À ton tour de m’entendre Pousser aussi...
