Chant de consolation
Oh ! souffrir et pleurer, c’est ce qui régénère : L’homme n’est vraiment grand qu’alors qu’il a gémi ; Quelque soit ton malheur, mon âme le vénère ; Pour moi, l’infortuné fut toujours un ami. Si j’avais une voix de séraphin, pareille A celle qui de Job adoucissait les maux, Sur ta couche de deuil, […] Plus