Sonnet LXX bis. Ainsi l’amour du Ciel ravit en ces hauts lieux Mon âme sans la mort, et le corps...
Yeux
Je suis celui des pourritures grandioses Qui s’en revient du pays mou des morts ; Celui des Ouests noirs du...
Pourquoi donc s’en estil allé, le doux amour ? Ils viennent un moment nous faire un peu de jour, Puis...
L’âge est venu, pas à pas, jour à jour, Poser ses mains sur le front nu de notre amour Et,...
Aux larmes, Le Vayer, laisse tes yeux ouverts : Ton deuil est raisonnable, encor qu’il soit extrême ; Et, lorsque...
Ô Provence natale, et toi, Toulon, ma ville, Interrogeons-les tous, de Ronsard à Banville : « Poètes, qu’êtes-vous ? »...
Ô Virgile ! ô poète ! ô mon maître divin ! Viens, quittons cette ville au cri sinistre et vain,...
En robe grise et verte avec des ruches, Un jour de juin que j’étais soucieux, Elle apparut souriante à mes...
Au temps où vont naître les roses, Puisqu’il est des heures moroses Même pour les fils d’Apollon, Pleure, pleure, mon...
