Dans le chemin…

Dans le chemin toujours trempé, tant y est épais

le feuillage visqueux de l’aulne amertumé,

nous nous promènerons. Mais comme elle est plus grande

que moi, c’est elle qui écartera les branches

et elle encore qui mettra sur mon épaule

sa joue et ses yeux bleus qui fixeront le sol.

La poésie, c'est l'art de l'âme. Venez, comme Guillaume Apollinaire, exprimer la vôtre en commentant.

Laisser un commentaire