Bientôt un triste anniversaire

Treize novembre

Je voudrais rendre hommage aux âmes innocentes,

Victimes de la folie, d’une fureur démente,

Abattues aux terrasses ainsi qu’au Bataclan.

Des morts et des blessés qui baignaient dans leur sang.

 

Ils s’appelaient Bertrand, Aurélie ou Anna,

Y”avaient aussi David, Juan et Djamila.

Comment les citer tous, ils étaient si nombreux,

On ne peut pardonner des crimes aussi odieux.

 

Quand au nom de l’islam on tue, on assassine,

Comment croire un instant dans la foi qui s’exprime,

Par des actes barbares, des actes infamants.

Ils connaîtront l’enfer avec tous ses tourments.

 

Je pense à tous ces gens éprouvés par ce drame,

Lacérés dans le cœur et déchirés dans l’âme.

<< Un seul être vous manque et tout est dépeuplé ! >>

De tout cœur avec vous nous sommes des milliers

 

Alphonse de Lamartine.

 

 

Voter pour ce poème!

Ce poème vous a-t-il touché ? Partagez votre avis, critique ou analyse !

Chaque commentaire est une étoile dans notre ciel poétique. Brillez avec le vôtre, comme Apollinaire dans la nuit.
S’abonner
Notifier de
Avatar
guest
0 Avis
Inline Feedbacks
View all comments

Eternité

Fenêtre ouverte. Une femme (Gamla) attend le retour de son amant (Abracadab)