L’aube ouvre ses mâchoires sur l’abîme
L’éclair est dans les chaînes
Tous nos roseaux s’enlisent
Je ne suis que ce corps
qui s’enfonce comme une vrille
Je troue la terre de part en part.
L’aube ouvre ses mâchoires sur l’abîme
L’éclair est dans les chaînes
Tous nos roseaux s’enlisent
Je ne suis que ce corps
qui s’enfonce comme une vrille
Je troue la terre de part en part.
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