Le faune par Paul Verlaine 1 vues 0.0 FacebookXWhatsAppEmailUn vieux faune de terre cuite Rit au centre des boulingrins, Présageant sans doute une suite Mauvaise à ces instants sereins Qui m’ont conduit et t’ont conduite, — Mélancoliques pèlerins, — Jusqu’à cette heure dont la fuite Tournoie au son des tambourins.