Douce courbe le long du lierre

Douce courbe le long du lierre,
chemin distrait qu’arrêtent des chèvres ;
belle lumière qu’un orfèvre
voudrait entourer d’une pierre.

Peuplier, à sa place juste,
qui oppose sa verticale
à la lente verdure robuste
qui s’étire et qui s’étale.

Les quatrains valaisans

Voter pour ce poème!

Ce poème vous a-t-il touché ? Partagez votre avis, critique ou analyse !

Dans notre ruche de poètes, chaque commentaire est une goutte de miel. Soyez doux.
S’abonner
Notifier de
Avatar
guest
0 Avis
Inline Feedbacks
View all comments