Là les souvenirs

Là les souvenirs

dorment dans un silence terrible mythologique
sous les décombres dans les âges, et sur les cendres des roches
au sommet de sa fierté et de sa grandeur et son éternité’
, comme une mariée’ brillante, satisfait et en colère
confortable et indigne’, dans les grands palais
son oreiller la mémoire, ses couvertures est des jours de joie
et des blessures du temps
a’ l’ombre de temps, dans les lieux déserts de soi
au fond des profondeurs, comme sainte et bénit
laissez -la dormir en paix
personne ne sait ce que leur vigilance détient
parfois nous l’aimons et parfois, nous fermons pour ne pas voir ses images
et parfois nous y recourons comme joie, et parfois on évite sa douleur
parfois nous encourage d’oublier, le temps de notre annexite
due a’ à’ une réalité orageuse, parfois ça ne détend pas
parfois nous nous fuyons d’elle comme une fugitive
dans les souvenirs il n’y a pas des d’objets artificiels
j’ai rêve’ de vivre sans souvenirs, même pour un jour
sans présent, sans passe’, sans racines, sans demain
vie vide, opaque, sans expression, sans suggérer
sans inspiration, sans réflexion sans poésie, sans mots
sans gout, sans couleurs, sans saison
dans l’oubli, dans un chaos complet, vers l’abime aller

sans sensation les cauchemars sont entrecoupés
a’ toutes les tempêtes, de bris, perte et réfraction
jour hystérie avec toutes les spécifications
jour de folie, pas d’idéal sans contrôle
comment envisagez -vous ce jour
ou je ne veux pas savoir, qui je suis, ce que je suis, et ou’ je suis
et ou’ ma position dans ce monde ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
dans une futilité temporaire
sans contrainte, personne n’arrête ma folie…
… était une volonté folle
pour connaitre le sens de pour connaitre le sens de pour
connaitre le sens de futilité’

j’ai j’ai essaye’ désespérément
je me suis retrouve’, a’ tomber dans la mer d’inspiration

pour écrire ces lignes
je n’écris pas fictivement, avec des mots inexpressifs
dans le quels l’âme humaine, n’est pas présente
ou je vois pas les larmes de la vie
parce que humain est l’essence de l’univers
et des êtres les plus chers

cette : créature, terrestre céleste
dieu n’a t’il pas créé nos parents *Adam et Ève
au ciel dans la présence divine !
de son plein gré’
de la matière argileuse, que les anges apportèrent de la terre
a près la désobéissance, ils ont ils ont envoyé de vivre sur elle
pour comprendre la relation de créature avec sa création
j’ai essaye’ désespérément
je me suis retrouve’, a’ tomber dans la mer d’inspiration
pour écrire ces lignes
je n’écris pas fictivement, avec des mots inexpressifs
dans le quels l’âme humaine, n’est pas présente
ou je vois pas les larmes de la vie
parce que humain est l’essence de l’univers
et des des êtres les plus chers

cette créature terrestre céleste
dieu n’a t’il pas créé nos parents *Adam et Eve **
au ciel dans la présence divine ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
de son plein gré’
de la matière argileuse, que les anges apportèrent de la terre
après la désobéissance, ils : ont envoyés de vivre sur elle
pour comprendre la relation de créature avec sa création
la terre nous embrasse dans nos vies
et après notre mort
parce que c’est notre vraie mère
donc nous avons adore’ la terre, le ciel
et notre relation avec le ciel continue
et nous avons sanctifié ce fait le ciel, la terre, humain
alors pour quoi tu te trompes ton frère humain ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
pour quoi tu déranges leur sommeil, par tes ennuis
ses larmes ne sont pas chères ! ! ! ! ! ! ! ! !
pourquoi confisques -tu ses rêves
pour vos penchants démoniaques
en toi la floraison du péché
la plus grande vertu de l’homme est sa justice
dans n’importe quel Musée pharaonique momifiait ta conscience

tu n’es pas leur destin
ou une pêche’ dans ta vie
tu es la pêche absolue

pas peur du châtiment de destin ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
toutes les livres célestes ont glorifiées l’humain
l’univers sans humain est le néant
pouvons -nous connaitre la grandeur de cette créature ! ! ! !

les tyrans et les faiseurs de guerre ne s’en sont-ils
pas rendent compte
ces équations éternelles** dieu, humain, ciel, terre **pour quel but
nous sommes créés

ou bien nous voulons
la futilité absolue
mes paroles sont terminées

a-t-il des oreilles qui écoutent
a-t-il un répondeur

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En douceur

La littérature et l’amour, avec leur noble pensée,