Valence-Du-Cid

Ay!

Mare de

Deu, yo no soc valenciâ!
Et tant de bijoux ruisselants, et ces deux

Anges au
bord de votre manteau

Et à votre bras ce bâton de commandement, ce cep centurionique,
Ceinturé et couronné d’or, offert par un

Roi d’Espagne, —
Tout cela intimide
Le plus couard de

Vos soldats,
O plus justement que

Faustine
Mater

Castrorum appelée !
Et comment remercierai-je cette belle

Brigadière-Générale,
Sinon en langue impériale ?
Aixina :
«

Ave… »
Comme je le fis jadis agenouillé devant le piédestal,
Mientras todos alrededor, como el trueno, gridaban :
«

Magna

Diana

Ephesiorum! »
Y cuando

Filius

Tuus obumbravit super caput meum in die bellil

Valery Larbaud

Votre plume est une baguette magique. Enchantez notre forum de poésie.

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