Noces et festins

Tandis qu’au restaurant en face : Aux barreaux verts
On prépare, au salon. de cinquante couverts,
Un de ces longs repas que l’argenteuil arrose
Et qu’orne un grand nougat surmonté d’une rose,
Toute la noce, avec de gros rires grivois,
Monte joyeusement sur les chevaux de bois
Et tourne, au son de l’orgue, en enfilant des bagues ;
Et c’est dans la banlieue, auprès de terrains vagues,
Où le beau-père et les gens mûrs, à quelques pas,
Vont jouer au bouchon et mettent habit bas.

La poésie se renouvelle avec chaque commentaire. Soyez le souffle de la renaissance.

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