Le verre

Nous ne pouvons rien trouver sur la terre,

Qui soit si bon, ni si beau que le vetre.

Du tendre amour berceau charmant,

C’est toi, champêtre fougère

C’est toi qui sers à faire

L’heureux instrument

Où souvent pétille,

Mousse et brille,

Le jus qui rend

Gai, riant,

Content.

Quelle douceur

Il porte au cœur !

Tôt,

Tôt,

Tôt,

Qu’on m’en donne,

Qu’on l’entonne ;

Tôt,

Tôt,

Tôt,

Qu’on m’en donne

Vite et comme il faut ;

L’on y voit, sur ses flots chéris,

Nager l’Allégresse et les
Ris.

Voter pour ce poème!

Nous vous implorons de laisser un commentaire. Nous avons besoin de votre validation pour continuer à exister.

Ce poème vous a-t-il touché ? Partagez votre avis, critique ou analyse !

S’abonner
Notifier de
guest
0 Avis
Inline Feedbacks
View all comments