L’Hellade

Puisque de mes destins l’arrêt est prononcé Et qu’aux profanes cris de la grande adultère, J’aurai d’un sang trop pur demain marqué la terre, Vieil aigle par les feux de mille coups percé, Apollon, toi, seul dieu qui mon culte ait fixé, Flambeau toujours présent à ma carrière austère, Apporte à mon chevet, du pâle…