L’absent

La part du vent la part du feu faites en celle de l’absent vivant ou mort un peu des deux et de la neige au lieu de sang

Vivant et mort si décevant qu’il se dérobe devant nous La part du feu la part du vent celle de l’absent parmi nous

Devant le feu gardez sa place coupez pour lui un peu de pain Il émergera de la glace pour y replonger au matin

Un peu de nuit dans le regard un peu de neige au lieu de sang invité toujours en retard et plus qu’il ne faut transparent.

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La poésie se renouvelle avec chaque commentaire. Soyez le souffle de la renaissance.

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