Ô poète, à quoi bon chercher
Des mots pour son délire ?
Il n’y a qu’au bois de ta lyre
Que tu l’as su toucher.
Plus haut que toi, dans sa morphine,
Chante un noir séraphin.
Ma nourrice disait qu’Enfin
Est le mari d’Enfine.
Contrerimes
Ô poète, à quoi bon chercher
Des mots pour son délire ?
Il n’y a qu’au bois de ta lyre
Que tu l’as su toucher.
Plus haut que toi, dans sa morphine,
Chante un noir séraphin.
Ma nourrice disait qu’Enfin
Est le mari d’Enfine.
Contrerimes
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