Louise Labé
Diane étant en l’épaisseur d’un bois
Louise Labé
Louise Labé
Claire Vénus, qui erres par les Cieux
Louise Labé
Louise Labé
Deux ou trois fois bienheureux le retour
Louise Labé
Louise Labé
Sonnet de la belle cordière
Louise Labé
Louise Labé
Quelle grandeur rend l’homme vénérable
Louise Labé
Louise Labé
Après qu’un temps la grêle et le tonnerre
Louise Labé
Louise Labé
Tout aussitôt que je commence à prendre
Louise Labé
Louise Labé
Prédit me fut que devait fermement
Louise Labé
Louise Labé
Luth, compagnon de ma calamité
Louise Labé
Louise Labé
Tant que mes yeux pourront larmes épandre
Louise Labé
Louise Labé
Quand j’aperçois ton blond chef, couronné
Louise Labé
Louise Labé
Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie
Louise Labé
Louise Labé
D’un tel vouloir le serf point ne désire
Louise Labé
Louise Labé
Pour le retour du Soleil honorer
Louise Labé
Louise Labé
Ô longs désirs, ô espérances vaines
Louise Labé
Louise Labé
