Locutions des Pierrots, II

Ah ! le divin attachement
Que je nourris pour Cydalise,
Maintenant qu’elle échappe aux prises
De mon lunaire entendement !

Vrai, je me ronge en des détresses,
Parmi les fleurs de son terroir
À seule fin de bien savoir
Quelle est sa facultémaîtresse !

C’est d’être la mienne, distu ?
Hélas ! tu sais bien que j’oppose
Un démenti formel aux poses
Qui sentent par trop l’impromptu.

L’Imitation de N.D la Lune

Publications similaires

La poésie a besoin de vos mots pour s'épanouir. Participez à notre jardin de vers.

Laisser un commentaire