Ô prompt à croire et tardif à savoir
Ô prompt à croire et tardif à savoir Le vrai, qui tant clairement se peut voir, A votre coeur reçu telle pensée Qu’à tout jamais j’en demeure offensée ? Estil entré dans votre entendement, Que dans mon coeur y ait un autre amant ? Hélas ! mon Dieu, avezvous bien pu croire Qu’autre que vous…